Une étude pour pérenniser l’allogreffe veineuse

« Pour l’instant, une seule société commercialise des allogreffes veineuses en France et les études sur cette technique sont très anciennes », explique le Docteur Jean-Luc Pin, chirurgien vasculaire à l’hôpital privé Dijon Bourgogne (Ramsay Santé – Dijon). Le praticien a donc décidé d’initier une étude pour analyser le devenir des patients à moyen et long terme, ainsi que le service rendu par ces allogreffes.